Quand
tu t’en vas
et
me laisses seul
je
sens le cœur
qui
bat
et
Qui souffre
et
s’engouffre
dans
le malheur…
Mes
mains tremblent
et
voudraient te retenir
pour
ne pas te voir partir
et
m’épargner la souffrance
qui
est l’absence
de
ton sourire
car
je me sent trop bien
quand
on est ensemble…
Quand
tu t’en vas,
j’ai
peur
que
tu ne reviennes plus
me
parler
et
me dire
comment
as-tu ressenti
ce
que je viens d’écrire
en
pensant à toi
et
à toutes les femmes
qui
ont un âme
et
parfois m’enflamment …
C’est
bête, peut-être,
mais
je suis aux anges
et
je goûte au Paradis
quand
j’écoute tes louanges
toujours
gentils
et
tu me dis
que
ça vient du cœur
pour
mon plus grand bonheur…
La
vie t’appelle,
mais
ne m’oublie pas,
car,
ma belle,
j’ai
besoin de toi,
de
sentir ta présence…
En
te voyant sourire,
je
ressens de la démence
qui
me prend à bras le corps
mon
émoi
et
me fait rêver
d’une
nuit d’amour
avec
toi
et
même si ça n'arrivera jamais,
je
l'inventerai
et
rêverai toujours
sublime
et magnifique
car
t'es la déesse
de
mansuétude
et
le rayon de soleil
qui
me rend fier,
et
éloigne de moi le deuil
d'un
coeur
qui,
pour trop aimer,
connait
aussi le goût amer
de
la solitude...
Lud MacMartinson
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