Et si tu n'éxistais pas - Joe Dassin

Lover Why

quinta-feira, 3 de outubro de 2013

Ça fait longtemps que je veux t'aimer...


ÇA FAIT LONGTEMPS
QUE JE VEUX T'AIMER

Ça fait longtemps
que je te t’attends
chaque soir
pour m’émouvoir
et garder en secret
l’espoir
de pouvoir
de t’aimer
e t’avoir
à mes côtés...

Ça fait longtemps,
un an,
loin de toi
sans te toucher,
ni croiser
ton regard,
qui devient
une éternité
et un cauchemar...

Ça fait longtemps,
depuis le premier jour,
je sais
que tu m'admires
et c'est vrai
que tu m’attires,
que tu m’inspires
aussi
les plus beaux
versets d'Amour...

Ça fait longtemps
que je te veux
te montrer
mes yeux
tout amoureux
de toi,
de toucher ta main
comme un gamin
qui, courant
derrière
le cerf-volant,
oublie
qu’il a les pieds
sur Terre
et, s’envolant
sur un nuage,
part en voyage
dans le royaume
de sa fée,
de sa muse,
de sa dulcinée
confuse,
mais bien-aimée...

Ça fait longtemps
que je t’attends
avec patience,
que je souffre
en silence,
que je me retiens
pour te cacher
mon attirance
Et que je freine
mon impatiente
et mes avances
pour que tu restes
sereine
et tu sois mienne
en toute confiance...

Ça fait longtemps
que mes nuits
s’achèvent
en te rêvant
dans tes bras
et que mes jours
commencent
dans la lueur de l’espoir
qui se miroite
de ton regard...

Ça fait longtemps
que t’es devenue
tout simplement
mon amie,
mon admiratrice,
et tu sais
comme j’aimerais
tant
que ton corps
de femme
puisse embraser
la flamme
de mon esprit
et me prenne
pour que la vie
dont j’ai rêvé
à tes côtes
brille
de mille feux
dans tes yeux...

Ça faits longtemps
que je t’attends,
je t’en prie,
prends-moi,
tant que je suis
en vie,
ne me laisse pas
partir
et disparaître
pour toujours
sans connaître
la douce folie
d’une nuit
d’amour
dans tes bras…

Ça fait longtemps,
mon Dieu,
que je ne demande
qu'être heureux,
mais je ne sais pas
si j'ai le droit
de t'avouer ceci
car j'ai peur
de t'aimer
avant le temps
et de bousculer
tes sentiments,
alors,
mon trésor,
sache que mon coeur
n'attend que ton regard
s'ouvre et voit
tout mon désarroi
quand tu n'es pas là
et, s'il le faut,
je tiendrai le coup,
j'accomplirai
ma traversée du désert
de ma démence,
je plongerai dans l'abîme
de la souffrance
pour me purifier,
j'irai jusqu'au bout
avec confiance
et j'attendrai l'éternité
plus un jour
pour renaître,
et pouvoir connaître
et partager
avec toi
mon innocence
et la sublime quintessence
de l'Amour...

Lud
MacMartinson

Um comentário:

lili disse...

Lud...où tant des sentiments d'amour?... Donne envie lire et relire toujours!


Poéme magnifique!!!! ..Romantique et mélancolie, me fait pleurer...

gros embrasser!!!!